03 mai 2018
Résultats financiers
Bombardier présente ses résultats du premier trimestre de 2018, annonce la vente de sa propriété de Downsview et envisage un nouveau centre d’excellence pour ses avions Global
- Revenus de 4 G$, en hausse de 12 % sur douze mois, soulignant l’accélération de la croissance du chiffre d’affaires
- Solides commandes alimentant la croissance du carnet de commandes de Transport, d’Avions d’affaires et d’Avions commerciaux
- RAIIA(1) et RAII avant éléments spéciaux(1) sur base consolidée de respectivement 265 M$ et 201 M$; Hausse de la marge RAII(2) à 5 %
- Utilisation des flux de trésorerie disponibles(1) de 721 M$, conformément au plan et à la cible de flux de trésorerie disponibles neutres pour l’exercice
- Clôture du partenariat avec Airbus prévue avant la fin du deuxième trimestre, en avance sur le calendrier(3)
- Signature d’un accord définitif pour vendre la propriété de Downsview à l’Office d’investissement des régimes de pensions du secteur public, augmentant les liquidités de plus de 550 M$
- Nouveau centre d’excellence pour les avions d’affaires Global prévu à l’Aéroport international Pearson de Toronto
Bombardier (TSX: BBD.B) a présenté aujourd’hui ses résultats du premier trimestre de 2018, marqués par une forte croissance des revenus. Les revenus consolidés ont atteint 4,0 milliards $, en hausse de 12 % sur ceux du trimestre correspondant de l’exercice précédent, ce qui témoigne surtout de l’accélération de grands projets chez Transport et de l’amélioration des conditions de marché chez Avions d’affaires.
« Nous continuons à tenir nos engagements financiers et à faire de solides progrès dans l’exécution de nos programmes en croissance et dans nos initiatives stratégiques, a dit Alain Bellemare, président et chef de la direction, Bombardier Inc. Nous avons atteint avec succès le milieu de notre plan de redressement avec un bilan renforcé et des efforts clairement axés sur l’exécution et la croissance. »
L’élan soutenu des commandes chez Transport a porté à 1,0 le ratio de nouvelles commandes sur revenus pour le trimestre, tandis que le carnet de commandes de ce secteur d’activité a augmenté pour atteindre 35,7 milliards $. Le carnet de commandes d’Avions d’affaires a aussi augmenté pour atteindre 14,3 milliards $ au cours du premier trimestre. Après la fin du trimestre, Avions commerciaux a annoncé avoir signé une entente d’achat avec Ethiopian Airlines visant jusqu’à 15 avionsQ400 et une autre avec American Airlines visant jusqu’à 30 avions CRJ900, ce qui porte les carnets de commandes d’avions CRJ Series et Q400 à respectivement plus de 50 avions chacun.
La marge RAII de Bombardier a progressé de 80 points de base pour atteindre 5 % pour la première fois depuis le lancement du plan de redressement de l’entreprise. Cette hausse a été alimentée par une forte croissance des revenus, incluant une croissance des activités du marché de l’après-vente, et par des améliorations opérationnelles. Le RAIIA et le RAII avant éléments spéciaux ont été respectivement de 265 millions $ et de 201 millions $ pour le trimestre, reflétant une rentabilité en nette amélioration.
L’utilisation des flux de trésorerie disponibles de 721 millions $ est conforme au plan de Bombardier, alors que les activités des principaux projets ferroviaires continuent de s’intensifier et que nous préparons l’avion Global 7000 pour qu’il soit certifié et mis en service plus tard cette année. Les investissements dans le fonds de roulement au cours du premier trimestre ont totalisé 594 millions $ et étaient principalement attribuables aux stocks et aux actifs sur contrat, alors que nous nous préparons en vue d’une accélération des livraisons plus tard cette année. L’entreprise demeure en bonne voie d’atteindre son objectif de flux de trésorerie disponibles neutres pour l’exercice.
Bombardier a aussi annoncé avoir conclu un accord définitif pour vendre sa propriété de Downsview pour un produit brut d’environ 635 millions $ à l’Office d’investissement des régimes de pensions du secteur public (Investissements PSP), sous réserve des conditions de clôture habituelles. L’opération devrait être conclue au cours du deuxième trimestre de 2018, augmentant la trésorerie de plus de 550 millions $, montant net des coûts de l’opération et autres coûts associés. De plus, en vertu d’une entente avec Investissements PSP, Bombardier continuera ses activités sur le site de Downsview pendant une période maximale de trois ans après la conclusion de la vente, avec deux options d’extension d'un an chacune.
Parallèlement, Bombardier a aussi signé une lettre d’entente avec l’Autorité aéroportuaire du Grand Toronto (GTAA) pour un bail à long terme d’une propriété d’environ 38 acres adjacente à l’Aéroport international Pearson de Toronto sur lequel Bombardier prévoit établir un nouveau centre d’excellence et une usine d’assemblage final pour ses jets d’affaires Global. Plus d’information sur ces nouvelles installations en location seront dévoilées ultérieurement.
« Dans le cadre du plan de redressement de cinq ans de Bombardier, nous avons passé en revue nos installations à l’échelle mondiale afin de nous assurer que nos activités d’exploitation sont aussi les plus efficaces et les plus rentables, condition nécessaire pour appuyer nos objectifs de croissance, a dit M. Bellemare. Aujourd’hui, nous utilisons seulement environ 10 pour cent d’un site de 150 hectares situé à Downsview alors que nous supportons la totalité du coût d’exploitation d’une piste d’atterrissage d’environ 2000 mètres. Nous sommes donc très heureux d’avoir conclu des ententes avec Investissements PSP et GTAA. Ensemble, ils nous permettent de monétiser un actif sous-utilisé, mieux rationaliser et optimiser nos activités liées aux avions d’affaires et d’appuyer davantage le développement économique et la croissance de l’emploi dans la Région du grand Toronto. »
RÉSULTATS ET FAITS SAILLANTS SECTORIELS
Avions d’affaires
- Au cours du premier trimestre de 2018, Avions d’affaires a renoué avec la croissance, ses revenus, en hausse de 9 % pour atteindre 1,1 milliard $, reflétant la livraison de 31 avions et l’augmentation des activités sur le marché de l’après-vente.
- Le RAII avant éléments spéciaux a aussi poursuivi sa croissance, en hausse de 16 millions $ sur douze mois, tandis que la marge RAII avant éléments spéciaux atteignait 8,8 %. Cette hausse de 20 % de la rentabilité a été générée par une combinaison plus favorable de ventes d’avions et de services après-vente, et par une gestion rigoureuse des coûts.
- L’intensification des prises de commandes dans les dernières semaines de l’exercice 2017 s’est maintenue au cours du premier trimestre, portant le carnet de commandes à 14,3 milliards $.
- L’avion Global 7000 a continué d’afficher d’excellentes performances et de présenter un degré élevé de fiabilité en vue de sa mise en service prévue au second semestre de 2018. Le 15 avril 2018, Bombardier a révélé que le biréacteur d’affaires Global 7000 atteint désormais une autonomie exceptionnelle de 7700 milles marins, permettant plus de liaisons que tout autre avion d’affaires. L’avion Global 7000 est maintenant le biréacteur d’affaires le plus grand et à la plus grande autonomie jamais construit, pouvant parcourir 300 milles marins de plus que ce que nous avions promis initialement.
- Au premier trimestre, Avions d’affaires a continué à élargir son portefeuille d’activités sur le marché de l’après-vente, dévoilant une gamme de nouveaux produits pour installation en rattrapage afin de répondre à la demande du marché en matière de mise à niveau des cabines et des postes de pilotage, ainsi que pour permettre aux 4700 biréacteurs de l’importante flotte en service de Bombardier de se conformer aux exigences réglementaires.
Avions commerciaux
- L’accélération de la cadence de production des avions C Series se poursuit avec 5 livraisons au cours du premier trimestre. Il y a présentement 31 avions C Series exploités par Swiss International Air Lines (SWISS), Air Baltic Corporation AS (airBaltic) et Korean Air Lines.
- Nous avons reçu presque toutes les approbations des organismes de réglementation pour le partenariat annoncé avec Airbus concernant les avions C Series. La clôture de l’opération est actuellement prévue d’ici la fin du deuxième trimestre de 2018, soit avant ce qui était initialement prévu. La participation de Bombardier dans SCACS ayant récemment atteint 65 %, la Société devrait détenir environ 33 % de cette entité à la suite de la clôture de l’opération avec Airbus.
- Nous avons également livré 6 avions CRJ Series et 2 avions Q400 au cours du trimestre conformément à la réduction de notre cadence de production pour l’exercice.
- Après la fin du trimestre, nous avons annoncé la conclusion d’ententes d’achat avec Ethiopian Airlines visant jusqu’à 15 avions Q400 et avec American Airlines visant jusqu’à 30 avions CRJ900, ce qui porte les carnets de commandes à plus de 50 avions chacun.
Aérostructures et Services d’ingénierie
Transport
- Les revenus ont continué à progresser au premier trimestre, enregistrant une hausse de 21 % sur douze mois (soit 10 % compte non tenu de l’incidence des taux de change) pour atteindre 2,4 milliards $, en raison de l’accélération de projets clés. Les revenus ont augmenté dans tous les segments, soit ceux du matériel roulant et des systèmes, des services et de la signalisation.
- La phase principale d’accélération des projets initiée au milieu de l’année 2017 s’est poursuivie dans les premiers mois de 2018, établissant un fonds de roulement pour soutenir l’augmentation de la production afin de respecter une accélération des livraisons prévue plus tard au cours de l’exercice.
- Le RAII avant éléments spéciaux s’est élevé à 189 millions $ au premier trimestre, continuant d’afficher une marge correspondant ou supérieure à 8,0 %.
- À l’appui de la croissance à venir, nos nouvelles commandes ont totalisé 2,3 milliards $ au premier trimestre, portant le ratio de nouvelles commandes sur revenus à 1,0 pour le trimestre et notre carnet de commandes à 35,7 milliards $. Des contrats ont été conclus dans toutes les régions, y compris en Europe, en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique et comprennent des extensions importantes de contrats et l’exercice d’options par les clients. De plus, la majorité des nouvelles commandes sont venues appuyer notre stratégie qui consiste à réutiliser des technologies existantes, augmentant notre capacité à tirer parti des investissements récents et à accroître nos marges.
À propos de Bombardier
Avec plus de 69 500 employés répartis entre quatre secteurs d’activité, Bombardier est un leader mondial de l’industrie du transport, créant des avions et des trains novateurs qui changent la donne sur leur marché. Nos produits et nos services offrent des expériences de transport de calibre international qui établissent de nouvelles normes en matière de confort des passagers, d’efficacité énergétique, de fiabilité et de sécurité.
Avec son siège social situé à Montréal, au Canada, Bombardier a des installations de production et d’ingénierie dans 28 pays, couvrant les secteurs Transport, Avions d’affaires, Avions commerciaux et Aérostructures et Services d’ingénierie. Les actions de Bombardier se négocient à la Bourse de Toronto (BBD). Pour l’exercice clos le 31 décembre 2017, nos revenus ont été de 16,2 milliards $. Vous trouverez nouvelles et information à l’adresse bombardier.com ou en nous suivant sur Twitter : @Bombardier.
Bombardier, CRJ900, CRJ Series, C Series, Global, Global 7000 et Q400 sont des marques de commerce de Bombardier Inc. ou de ses filiales.
Pour plus d'informations
Simon Letendre | Patrick Ghoche Vice-président, Relations avec les investisseurs Bombardier Inc. +514 861 5727 |
Le rapport de gestion et les états financiers intérimaires consolidés sont disponibles à l’adresse ri.bombardier.com.
ins : information non significative
pdb : point de base
- Mesures financières non conformes aux PCGR. Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
- Marge désigne le RAII avant éléments spéciaux ou la marge RAII avant éléments spéciaux. Mesures financières non conformes aux PCGR.Voir la mise en garde relative aux mesures non conformes aux PCGR à la fin du présent communiqué de presse.
- Se reporter à la mise en garde liée aux énoncés prospectifs et à la rubrique Prévisions et énoncés prospectifs de chaque secteur isolable dans le Rapport financier 2016 pour des détails sur les hypothèses sur lesquelles reposent les prévisions.
- En raison de l’adoption de l’IFRS 15, Produits des activités ordinaires tirés de contrats conclus avec des clients. Se reporter à la rubrique Nouveautés en comptabilité et en présentation de l’information financière de la section Autres du rapport de gestion de la Société pour des détails sur le retraitement des chiffres de la période comparative.
- Définies comme Trésorerie et équivalents de trésorerie plus le montant disponible en vertu des facilités de crédit renouvelables.
- À la suite de la clôture prévue de notre partenariat C Series avec Airbus, les actifs et passifs du programme d’avions C Series sont présentés dans les actifs détenus en vue de la vente. Se reporter à la rubrique Partenariat stratégique de la section Avions commerciaux, ainsi qu’à la Note 11 – Trésorerie et équivalents de trésorerie et à la Note 19 – Actifs détenus en vue de la vente des états financiers consolidés de la Société, pour plus de détails sur l’opération et le traitement comptable au 31 mars 2018.
MISE EN GARDE RELATIVE AUX MESURES NON CONFORMES AUX PCGR
Le présent communiqué de presse repose sur les résultats établis selon les normes internationales d’information financière (IFRS). Toute référence aux principes comptables généralement reconnus (PCGR) signifie IFRS, sauf indication contraire. Il repose également sur des mesures non conformes aux PCGR, dont le RAIIA, le RAII avant éléments spéciaux et le RAIIA avant éléments spéciaux, le résultat net ajusté, le résultat par action ajusté et les flux de trésorerie disponibles. Ces mesures non définies par les PCGR découlent directement des états financiers consolidés mais n’ont pas un sens normalisé prescrit par les IFRS; par conséquent, d’autres entreprises utilisant ces termes peuvent les définir différemment. La direction croit que fournir certaines mesures de performance non conformes aux PCGR, en plus des mesures IFRS, donnent aux utilisateurs de notre rapport financier une meilleure compréhension de nos résultats et tendances connexes, et accroît la transparence et la clarté des résultats de base de notre entreprise. Se reporter à la rubrique Mesures financières non conformes aux PCGR et à la rubrique Liquidités et sources de financement de la section Sommaire et à la rubrique Analyse des résultats des sections de chaque secteur d’activité du rapport de gestion de la Société pour la définition de ces indicateurs et pour le rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS.
Rapprochement avec les mesures les plus comparables des IFRS (PDF)
ÉNONCÉS PROSPECTIFS
Le présent rapport de gestion contient des énoncés prospectifs, qui peuvent comprendre, sans s’y limiter, des déclarations portant sur nos objectifs, nos prévisions, nos cibles, nos buts, nos priorités, nos marchés et nos stratégies, notre situation financière, nos croyances, nos perspectives, nos plans, nos attentes, nos anticipations, nos estimations et nos intentions; les perspectives de l’économie générale et les perspectives commerciales, les perspectives et les tendances d’une industrie; la croissance prévue de la demande de produits et de services; le développement de produits, y compris la conception, les caractéristiques, la capacité et la performance projetées; les dates prévues ou fixées de la mise en service de produits et de services, des commandes, des livraisons, des essais, des délais, des certifications et de l’exécution des projets en général; notre position en regard de la concurrence; l’incidence prévue du cadre législatif et réglementaire et des procédures judiciaires sur notre entreprise et nos activités; les liquidités disponibles et l’examen continu des solutions de rechange stratégiques et financières; la clôture et l’échéancier prévu de l’opération avec Airbus SE (Airbus) décrite aux présentes ainsi que l’obtention des approbations des organismes de réglementation et autres approbations nécessaires dans le cadre de cette opération et l’échéancier prévu pour l’obtention de celles-ci; la gouvernance, le financement et les liquidités de la Société en commandite Avions C Series (SCACS); l’incidence et les avantages escomptés de l’opération avec Airbus décrite aux présentes sur nos activités, notre infrastructure, nos capacités, notre développement, notre croissance et autres occasions, notre présence et notre dimension géographiques, notre empreinte, notre situation financière, notre accès à des capitaux et notre stratégie générale; et l’incidence de cette opération sur notre bilan et notre situation financière.
Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes comme « pouvoir », « prévoir », « devoir », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier », « entrevoir », « croire », « continuer », « maintenir » ou « aligner », la forme négative de ces termes, leurs variations ou une terminologie semblable lorsqu’il est question de Bombardier et de SCACS. Les énoncés prospectifs sont présentés dans le but d’assister les investisseurs et autres dans la compréhension de certains éléments clés de nos objectifs, priorités stratégiques, attentes et plans actuels, ainsi que pour leur permettre d’avoir une meilleure compréhension de nos activités et de l’environnement dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est prévenu que de telles informations pourraient ne pas convenir à d’autres fins.
De par leur nature, les énoncés prospectifs exigent que la direction formule des hypothèses et ils sont assujettis à d’importants risques et incertitudes, connus et inconnus, de sorte que nos résultats réels de périodes futures pourraient différer de façon importante des résultats prévus décrits dans les énoncés prospectifs. Bien que la direction juge ces hypothèses raisonnables et appropriées selon l’information à sa disposition, il existe un risque qu’elles ne soient pas exactes. Les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent communiqué de presse relativement à l’opération avec Airbus décrite aux présentes comprennent les hypothèses importantes suivantes : le respect de toutes les conditions de clôture et la réalisation de l’opération dans les délais prévus, y compris la réception des approbations des organismes de réglementation et des autres approbations; le respect et l’exécution par chacune des parties de ses obligations aux termes de l’accord relatif à l’opération et aux accords commerciaux futurs et l’absence d’inefficacités importantes et d’autres problèmes connexes; la réalisation des avantages et des synergies prévues de l’opération selon l’échéancier prévu; notre capacité à maintenir notre plan de financement actuel de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère adéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet; et l’exactitude de notre évaluation des facteurs de croissance prévus et des tendances sectorielles. Pour en savoir davantage sur les hypothèses sur lesquelles reposent les énoncés prospectifs figurant dans le présent rapport de gestion, voir les rubriques Priorités stratégiques et Prévisions et énoncés prospectifs des sections Sommaire, Avions d’affaires, Avions commerciaux, Aérostructures et Services d’ingénierie et Transport du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.
En ce qui a trait spécifiquement à l’opération avec Airbus faisant l’objet des présentes, certains facteurs, qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux prévus dans les énoncés prospectifs, comprennent ce qui suit, sans s’y limiter : les risques associés à la non-réception des approbations des organismes de réglementation ou d’autres approbations ou au retard dans la réception de celles-ci ou au non-respect des conditions rattachées à la réalisation de l’opération ou au retard dans le respect de celles-ci et l’incertitude concernant le temps requis pour mener à bien l’opération; les changements touchant les modalités de l’opération; le défaut de l’une des parties de respecter et d’exécuter ses obligations aux termes de l’accord relatif à l’opération et aux accords commerciaux futurs et/ou des inefficacités importantes et d’autres problèmes connexes; l’incidence de l’annonce de l’opération sur nos relations avec les tiers, notamment les contreparties commerciales, les employés et les concurrents, ainsi que sur les relations stratégiques, les résultats d’exploitation et les entreprises en général; la non-réalisation des avantages ou des synergies prévus de l’opération ou le fait qu’ils ne soient pas réalisés selon l’échéancier prévu; notre capacité à maintenir notre plan de financement actuel de SCACS et à assurer le financement, le cas échéant, des besoins en trésorerie; le caractère inadéquat de la planification et de la gestion de la trésorerie et du financement du projet. Parmi les autres facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de manière importante des résultats prévus dans les énoncés prospectifs, notons, sans s’y limiter, les risques liés à la conjoncture économique, à notre contexte commercial (tels les risques liés au Brexit, à la situation financière de l’industrie du transport aérien, des clients d’avions d’affaires et de l’industrie du transport sur rail; à la politique commerciale (y compris les modifications potentielles à l’Accord de libre-échange nord-américain actuel entre le Canada, les É.-U. et le Mexique qui fait l’objet de discussions, ou son abrogation), à l’accroissement de la concurrence; à l’instabilité politique et à des cas de force majeure ou catastrophes naturelles), à l’exploitation (tels les risques liés au développement de nouveaux produits et services; au développement de nouvelles activités; à la certification et à l’homologation de produits et services; aux engagements à prix et à terme fixes et à la production et à l’exécution de projets; aux pressions sur les flux de trésorerie et sur les dépenses en immobilisations exercées par les fluctuations liées aux cycles de projet et au caractère saisonnier; à notre capacité de mettre en œuvre et de réaliser avec succès notre stratégie et notre plan de transformation; aux partenaires commerciaux; aux pertes découlant de sinistres et de garanties sur la performance des produits; aux procédures réglementaires et judiciaires; aux risques liés à l’environnement et à la santé et sécurité; à notre dépendance à l’égard de certains clients et fournisseurs; aux ressources humaines; à la fiabilité des systèmes informatiques; à la fiabilité des droits relatifs à la propriété intellectuelle; et au caractère adéquat de la couverture d’assurance), au financement (tels les risques liés aux liquidités et à l’accès aux marchés financiers; aux régimes d’avantages de retraite; à l’exposition au risque de crédit; aux obligations importantes au titre des paiements de la dette et des intérêts; à certaines clauses restrictives de conventions d’emprunt; et à certains seuils minimums de liquidités; à l’aide au financement en faveur de certains clients; et à la dépendance à l’égard de l’aide gouvernementale), au marché (tels les risques liés aux fluctuations des taux de change et des taux d’intérêt; à la diminution de la valeur résiduelle; à l’augmentation des prix des produits de base; et aux fluctuations du taux d’inflation). Pour plus de détails, se reporter à la rubrique Risques et incertitudes dans la section Autres du rapport de gestion de notre rapport financier pour l’exercice clos le 31 décembre 2017.
Le lecteur est prévenu que la présente liste de facteurs pouvant influer sur la croissance, les résultats et le rendement futurs n’est pas exhaustive et qu’il ne faudrait pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. D’autres risques et incertitudes que nous ne connaissons pas ou que nous considérons comme non importants à l’heure actuelle pourraient également faire en sorte que les résultats ou les événements réels diffèrent considérablement de ceux exprimés explicitement ou implicitement dans ces énoncés prospectifs. En outre, rien ne garantit que l’opération proposée avec Airbus se concrétisera ni que les avantages stratégiques prévus et les synergies attendues sur le plan de l’exploitation, de la concurrence et des coûts seront réalisés en totalité ou en partie, voire qu’ils se réaliseront. Les énoncés prospectifs décrits aux présentes reflètent les attentes de la direction à la date du présent communiqué de presse et pourraient subir des modifications après cette date. À moins d’y être tenus selon les lois sur les valeurs mobilières applicables, nous nions expressément toute intention ou obligation de mettre à jour ou de réviser tout énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou autrement. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport de gestion sont formulés expressément sous réserve de cette mise en garde.
Le programme d’avions Global 7000 et Global 8000 est présentement à la phase de développement et est susceptible de changements, notamment en ce qui a trait à la stratégie de gamme, à la marque, à la capacité, aux performances, à la conception et aux systèmes de circuits. Toutes les spécifications et les données sont approximatives, peuvent changer sans préavis et sont assujetties à certaines règles d’exploitation, hypothèses et autres conditions. Le présent document ne constitue ni une offre, ni un engagement, ni une déclaration, ni une garantie d’aucune sorte.